Je viens de voir un film magnifique sur Arte qui s'appelle quelque chose
comme Les fantômes de Goya. C'est un film de Milos Forman de 2006 sur
la période des exactions françaises sous Napoléon, que Goya a si
magnifiquement rendues. Mais apparemment la critique, lors de la sortie du
film, ne fut pas de cet avis. Je me retrouve seulement (mais c'est un
grand honneur car je l'estime bien) dans la critique de Roger Ebert du Chicago Sun-Times. Je sors fasciné, à la fois par la peinture de Goya, l'expression de ses visages, et par la vie de l'époque que l'auteur réussit à nous transmettre à travers cette fiction, en particulier, ce qui est dit de la folie et de la condition des fous et des prisonniers à cette époque. Un article malheureusement inaccessible donne la parole au co-scénariste du film, Jean-Claude Carrière, qui pointe justement ce travail de fiction qui se nourrit de l'histoire la plus sérieuse. Peut-être ai-je été particulièrement sensible car cela rejoint mon rêve: rendre en fiction un travail d'historien...
En voici la bande-annonce.
Lorsqu'un amour inattendu traversa ma vie de chrétien, je su que tel Jacob j'entrais dans un combat avec l'ange et qu'il ne me faudrait pas le lâcher avant qu'Il ne m'ait béni, dussé-je en boiter au matin... Combatdejacob voudrait donc offrir le fruit de ma méditation depuis lors sur ma vie dans l'Eglise, ses aléas (à deux puis de nouveau seul, enfin presque, avec deux pitchouns...). Dans le futur j'aimerais en faire un livre, alors n'hésitez pas à faire des commentaires.
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jeudi 13 septembre 2012
Les fantômes de Goya
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